« 𝑷𝒐𝒖𝒓𝒒𝒖𝒐𝒊 𝒋𝒆 𝒎𝒂𝒏𝒈𝒆 𝑪é𝒕𝒐?! »
Du plus loin que je me souvienne, j’ai toujours été en surpoids… j’étais la toutoune de l’école, la toutoune à ma job, 𝗹𝗮 𝗴𝗿𝗼𝘀𝘀𝗲 𝗱𝗲 𝗽𝗮𝗿𝘁𝗼𝘂𝘁!
J’ai fait 1001 régimes, restrictifs, imbéciles, magiques, quasi-démoniaques. Je débutais toujours en lion, motivée à plein, remplie de vouloir, gonflée à bloc du désir d’atteindre enfin mon objectif et d’être, comme la majorité des gens qui m’entouraient à l’époque : moins grosse que moi-même héhé et même simplement taille normale.
Chaque fois, j’me disais : « 𝐆𝐨, 𝐭’𝐞𝐬 𝐜𝐚𝐩𝐚𝐛𝐥𝐞, 𝐥𝐚 𝐠𝐫𝐚𝐧𝐝𝐞! 𝐅𝐨𝐧𝐜𝐞! 𝐓𝐮 𝐟𝐚𝐢𝐬 ç𝐚 𝐩𝐞𝐧𝐝𝐚𝐧𝐭 𝐮𝐧 𝐚𝐧, 𝐭𝐮 𝐩𝐞𝐫𝐝𝐬 𝐭𝐨𝐧 𝐩𝐨𝐢𝐝𝐬, 𝐩𝐢𝐬 𝐚𝐩𝐫è𝐬 𝐭𝐮 𝐟𝐞𝐫𝐚𝐬 𝐛𝐞𝐧 𝐜𝐞 𝐪𝐮𝐞 𝐭𝐮 𝐯𝐞𝐮𝐱! » Bon, je sais que ça ne semble pas très intelligent, mais plus je partage mon histoire, plus les gens me disent qu’ils ont fait la même chose, donc c’est 𝗿é𝗽𝗮𝗻𝗱𝘂.
J’ai fini par me faire à l’idée : « 𝗕𝗼𝗻, 𝗯𝗲𝗻 𝗷’𝘀𝘂𝗶𝘀 𝗱û𝗲 𝗽𝗼𝘂𝗿 ê𝘁𝗿𝗲 𝗴𝗿𝗼𝘀𝘀𝗲! » Un moment donné quand tu penses avoir tout essayé, et que ça ne fonctionne pas parc que tu crèves de faim, tu finis par te soumettre à ton sort, à la malédiction qui t’accable, qu’est-ce que tu veux : 𝗝𝗲 𝘀𝘂𝗶𝘀 𝗨𝗡𝗘 𝗚𝗥𝗢𝗦𝗦𝗘 !!!
J’ai fini par m’assumer, par même faire des blagues sur mon cas comme quoi je prenais plus de place, ha ha ha…
Mais dans le fond de moi-même, je les avais les rêves de me trouver belle, de sentir que j’étais attrayante, de « fitter » aussi dans les standards de la société. J’peux te dire qu’avec le temps, j’ai compris que, peu importe ma grosseur, je pouvais plaire aussi… tsé avec les hommes! Parce que y’a tout ça qui s’est passé dans ma tête pendant longtemps, je croyais que j’étais trop grosse et trop laide pour plaire. Ce qui a causé ben d’autres « maux » dans ma vie, mais j’en parlerai une autre fois.
Bref, tout ça pour dire que… j’ai fini par vivre ma vie, et accepter que c’était qui j’étais. J’en ai fait mon identité. Je vivais avec qui j’étais. 𝗝’é𝘁𝗮𝗶𝘀 𝗨𝗡𝗘 𝗚𝗥𝗢𝗦𝗦𝗘.
Jusqu’au jour où le docteur m’appelle « d’urgence » à son bureau! Huh?
« 𝘔𝘢𝘥𝘢𝘮𝘦, 𝘷𝘰𝘶𝘴 𝘢𝘷𝘦𝘻 𝘥𝘶 𝘥𝘪𝘢𝘣è𝘵𝘦 𝘦𝘵 𝘥𝘶 𝘤𝘩𝘰𝘭𝘦𝘴𝘵é𝘳𝘰𝘭. 𝘐𝘭 𝘦𝘴𝘵 𝘵𝘳è𝘴 𝘪𝘮𝘱𝘰𝘳𝘵𝘢𝘯𝘵 𝘥𝘦 𝘤𝘰𝘮𝘮𝘦𝘯𝘤𝘦𝘳 𝘭𝘢 𝘮é𝘥𝘪𝘤𝘢𝘵𝘪𝘰𝘯 𝘴𝘶𝘳-𝘭𝘦-𝘤𝘩𝘢𝘮𝘱, 𝘷𝘰𝘵𝘳𝘦 𝘱𝘢𝘯𝘤𝘳é𝘢𝘴 𝘯𝘦 𝘮𝘢𝘳𝘤𝘩𝘦 𝘱𝘭𝘶𝘴 𝘢𝘤𝘵𝘶𝘦𝘭𝘭𝘦𝘮𝘦𝘯𝘵. » 𝘈𝘷𝘦𝘤 𝘴𝘰𝘯 𝘳𝘦𝘨𝘢𝘳𝘥 𝘥é𝘴𝘢𝘱𝘱𝘳𝘰𝘣𝘢𝘵𝘦𝘶𝘳 𝘥𝘦 : 𝘷𝘰𝘶𝘴 ê𝘵𝘦𝘴 𝘶𝘯𝘦 𝘨𝘳𝘰𝘴𝘴𝘦, 𝘮𝘢𝘥𝘢𝘮𝘦, 𝘦𝘵 𝘷𝘰𝘶𝘴 𝘯𝘦 𝘱𝘳𝘦𝘯𝘦𝘻 𝘱𝘢𝘴 𝘴𝘰𝘪𝘯 𝘥𝘦 𝘷𝘰𝘵𝘳𝘦 𝘴𝘢𝘯𝘵é. 𝘙𝘦𝘨𝘢𝘳𝘥𝘦𝘻 𝘤𝘦 𝘲𝘶𝘦 𝘷𝘰𝘶𝘴 𝘢𝘷𝘦𝘻 𝘧𝘢𝘪𝘵!!
Mon fils qui entend ça, se met à pleurer. Son père est décédé 2 ans auparavant.
𝗕𝗔𝗡𝗚!!!! 𝗕𝗢𝗨𝗠!!!! 𝗣𝗜𝗙 !!!!! 𝗕𝗔𝗗𝗔𝗕𝗢𝗨𝗠!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!
Pour une claque de la réalité, c’était toute une claque de la réalité.
𝙏’𝙚𝙨 𝙥𝙖𝙨 𝙟𝙪𝙨𝙩𝙚 𝙜𝙧𝙤𝙨𝙨𝙚, 𝙡𝙖 𝙜𝙧𝙖𝙣𝙙𝙚, 𝙩’𝙚𝙨 𝙈𝘼𝙇𝘼𝘿𝙀 !!!
T’as pas à accepter d’être une grosse sous prétexte que t’as tout essayé!!!!!! T’es un être humain! T’es pas faite pour être grosse pis malade, la grande!
𝑺𝒊 ç𝒂 𝒏’𝒂 𝒑𝒂𝒔 𝒇𝒐𝒏𝒄𝒕𝒊𝒐𝒏𝒏é 𝒋𝒖𝒔𝒒𝒖’à 𝒅𝒂𝒕𝒆, 𝒄’𝒆𝒔𝒕 𝒒𝒖𝒆 𝑪’𝑵’𝑬𝑺𝑻 𝑷𝑨𝑺 𝑽𝑹𝑨𝑰 𝑸𝑼𝑬 𝑻𝑼 𝑨𝑺 𝑻𝑶𝑼𝑻 𝑬𝑺𝑺𝑨𝒀É!
𝑶𝒖 𝑷𝑰𝑹𝑬, 𝒄’𝒆𝒔𝒕 𝒒𝒖𝒆 𝒕’𝒂𝒔 𝑱𝑼𝑺𝑻𝑬 𝑬𝑺𝑺𝑨𝒀É, 𝑻𝑼 𝑵𝑬 𝑳’𝑨𝑺 𝑱𝑨𝑴𝑨𝑰𝑺 𝑽𝑹𝑨𝑰𝑴𝑬𝑵𝑻 𝑭𝑨𝑰𝑻 !!!!
Mais, à ce moment, pour être franche, j’ai eu peur. Peur d’être malade. Peur de vieillir dans la souffrance éternelle. Peur de mourir jeune et de laisser mes gars seuls dans ce monde. Peur d’embarquer dans toutes sortes de traitements. Peur de mourir jeune, comme ma mère.
En tout cas, j’ai eu assez peur et assez d’amour pour mes fils pour me donner un bon coup de pied au derrière.
J’me suis retroussé les manches, j’ai appliqué tout ce que j’avais appris dans mes cours de PNL sur moi-même, j’me suis faite un plan d’attaque et j’ai commencé mon « nouveau régime de vie » avec 𝐩𝐚𝐢𝐧 𝐛𝐫𝐮𝐧, 𝐛𝐞𝐧 𝐝𝐞𝐬 𝐥é𝐠𝐮𝐦𝐞𝐬, 𝐩𝐞𝐮 𝐝𝐞 𝐯𝐢𝐚𝐧𝐝𝐞, 𝐝𝐞𝐬 𝐧𝐨𝐢𝐱, 𝐝𝐞𝐬 𝐟𝐫𝐮𝐢𝐭𝐬 𝐞𝐧 𝐠𝐫𝐚𝐧𝐝𝐞 𝐪𝐮𝐚𝐧𝐭𝐢𝐭é, 𝐜’𝐞𝐬𝐭 𝐭𝐞𝐥𝐥𝐞𝐦𝐞𝐧𝐭 𝐬𝐚𝐧𝐭é.
Résultat, au bout de 3 semaines où j’me pique les doigts 5-6 fois par jour pour vérifier mon taux de glucose, avant-après les repas, en me levant, en me couchant, en revenant de marcher, avant d’aller marcher, alouette, j’ai compris plusieurs choses :
– 𝗠𝗮 𝗴𝗹𝘆𝗰é𝗺𝗶𝗲 𝗲𝘀𝘁 𝗺𝗮𝗷𝗼𝗿𝗶𝘁𝗮𝗶𝗿𝗲𝗺𝗲𝗻𝘁 𝗲𝗻𝘁𝗿𝗲 𝟴 𝗲𝘁 𝟭𝟯.
– 𝗨𝗻𝗲 𝗱𝗲𝗺𝗶-𝗯𝗮𝗻𝗮𝗻𝗲 𝗳𝗮𝗶𝘁 𝗺𝗼𝗻𝘁𝗲𝗿 𝗺𝗮 𝗴𝗹𝘆𝗰é𝗺𝗶𝗲 𝗱𝗲 𝟴 à 𝟭𝟮.
– 𝗖𝗵𝗮𝗾𝘂𝗲 𝗳𝗼𝗶𝘀 𝗾𝘂𝗲 𝗷𝗲 𝗺𝗮𝗻𝗴𝗲 𝘂𝗻 𝗺𝗮𝘅𝗶𝗺𝘂𝗺 𝗱𝗲 𝟳𝟱𝗴 𝗱𝗲 𝗴𝗹𝘂𝗰𝗶𝗱𝗲𝘀 𝗽𝗮𝗿 𝗿𝗲𝗽𝗮𝘀, 𝗺𝗮
𝗴𝗹𝘆𝗰é𝗺𝗶𝗲 𝘀𝗲 𝗿𝗲𝘁𝗿𝗼𝘂𝘃𝗲 à 𝟭𝟮, 𝟭𝟰 𝗷’𝗮𝗶 𝗱é𝗷à 𝘃𝘂 𝟭𝟴.
– 𝗝𝗲 𝗺𝗮𝗻𝗴𝗲 𝘁𝗿è𝘀 𝗽𝗲𝘂 𝗱𝗲 𝘃𝗶𝗮𝗻𝗱𝗲, 𝗽𝗮𝘀 𝗱𝗲 𝗴𝗿𝗮𝘀 𝗼𝘂 𝗽𝗿𝗲𝘀𝗾𝘂𝗲 𝘀𝗮𝘂𝗳 𝗹’𝗵𝘂𝗶𝗹𝗲 𝗱’𝗼𝗹𝗶𝘃𝗲 𝗾𝘂𝗲
𝗷𝗲 𝗺𝗲𝘁𝘀 𝗱𝗮𝗻𝘀 𝗺𝗮 𝘀𝗮𝗹𝗮𝗱𝗲 𝗲𝘁 𝗝𝗘 𝗖𝗥È𝗩𝗘 𝗗𝗘 𝗙𝗔𝗜𝗠.
– 𝗝𝗲 𝗰𝗿è𝘃𝗲 𝗱𝗲 𝗳𝗮𝗶𝗺 𝗲𝘁 𝗺𝗮 𝗴𝗹𝘆𝗰é𝗺𝗶𝗲 𝗻𝗲 𝗯𝗿𝗼𝗻𝗰𝗵𝗲 𝗽𝗮𝘀. 𝗧𝗼𝘂𝗷𝗼𝘂𝗿𝘀 𝘁𝗿𝗼𝗽 é𝗹𝗲𝘃é𝗲 𝘀𝗮𝘂𝗳…
– 𝗤𝘂𝗮𝗻𝗱 𝗷𝗲 𝘃𝗮𝗶𝘀 𝗺𝗮𝗿𝗰𝗵𝗲𝗿 𝗮𝘂 𝗺𝗼𝗶𝗻𝘀 𝘂𝗻𝗲 𝗵𝗲𝘂𝗿𝗲 à 𝘂𝗻 𝗿𝘆𝘁𝗵𝗺𝗲 𝗱𝗲 𝟱𝗸𝗺/𝗵𝗿𝗲, 𝗺𝗮
𝗴𝗹𝘆𝗰é𝗺𝗶𝗲 𝗱𝗲𝘀𝗰𝗲𝗻𝗱, 𝗲𝗻𝗳𝗶𝗻.
J’me dis, ça y est…ma seule issue pour m’en sortir sans médicament (j’haïs prendre ça et en plus, j’oublie tout le temps) c’est de marcher sur un tapis roulant sans fin et de manger quelques peanuts en chemin. DÉCOURAGÉE!
𝑸𝒖’𝒆𝒔𝒕-𝒄𝒆 𝒒𝒖𝒆 𝒋𝒆 𝒎𝒆 𝒔𝒖𝒊𝒔 𝒇𝒂𝒊𝒕?????
Puis, c’est à ce moment que 𝐥’𝐚𝐥𝐢𝐦𝐞𝐧𝐭𝐚𝐭𝐢𝐨𝐧 𝐜é𝐭𝐨𝐠è𝐧𝐞 𝐞𝐬𝐭 𝐞𝐧𝐭𝐫é𝐞 𝐝𝐚𝐧𝐬 𝐦𝐚 𝐯𝐢𝐞. Par un hasard, je suis « tombée » là-dessus!
𝐉’𝐚𝐢 𝐥𝐮. 𝐉’𝐚𝐢 𝐞𝐧𝐟𝐢𝐧 𝐜𝐨𝐦𝐩𝐫𝐢𝐬 𝐜𝐞 𝐪𝐮𝐢 𝐬𝐞 𝐩𝐚𝐬𝐬𝐚𝐢𝐭 𝐝𝐚𝐧𝐬 𝐦𝐨𝐧 𝐜𝐨𝐫𝐩𝐬 𝐝𝐞𝐩𝐮𝐢𝐬 𝐭𝐨𝐮𝐣𝐨𝐮𝐫𝐬! Ç𝐚 𝐦𝐞 𝐬𝐞𝐦𝐛𝐥𝐚𝐢𝐭 𝐭𝐞𝐥𝐥𝐞𝐦𝐞𝐧𝐭 𝐢𝐧𝐭𝐞𝐥𝐥𝐢𝐠𝐞𝐧𝐭 𝐪𝐮𝐞 ç𝐚 𝐟𝐨𝐧𝐜𝐭𝐢𝐨𝐧𝐧𝐞𝐫𝐚𝐢𝐭.
J’en ai parlé à mes gars puisque ça semblait ê𝐭𝐫𝐞 𝐞𝐟𝐟𝐢𝐜𝐚𝐜𝐞 𝐚𝐮𝐬𝐬𝐢 𝐩𝐨𝐮𝐫 𝐥𝐞 𝐓𝐃𝐀𝐇 𝐞𝐭 𝐥’𝐚𝐮𝐭𝐢𝐬𝐦𝐞.
Nous avons choisi notre date : le 9 avril 2018.
𝑫è𝒔 𝒎𝒐𝒏 𝒑𝒓𝒆𝒎𝒊𝒆𝒓 𝒓𝒆𝒑𝒂𝒔, 𝒎𝒂 𝒈𝒍𝒚𝒄é𝒎𝒊𝒆 𝒂 𝒃𝒂𝒊𝒔𝒔é. 𝑳À, 𝑱’É𝑻𝑨𝑰𝑺 𝑰𝑴𝑷𝑹𝑬𝑺𝑺𝑰𝑶𝑵𝑵É𝑬.
𝑫è𝒔 𝒍𝒆 3𝒆 𝒋𝒐𝒖𝒓𝒔, 𝒎𝒐𝒏 𝒇𝒊𝒍𝒔 𝑵𝒊𝒄𝒐𝒍𝒂𝒔 𝒆𝒔𝒕 𝒑𝒍𝒖𝒔 𝒄𝒆𝒏𝒕𝒓é 𝒆𝒕 𝒄𝒐𝒏𝒄𝒆𝒏𝒕𝒓é 𝒆𝒕 𝒔𝒂𝒊𝒔𝒊𝒕 𝒔𝒆𝒔 𝒏𝒐𝒕𝒊𝒐𝒏𝒔 𝒅𝒆 𝒎𝒂𝒕𝒉𝒔 𝒑𝒍𝒖𝒔 𝒓𝒂𝒑𝒊𝒅𝒆𝒎𝒆𝒏𝒕 𝒒𝒖𝒆 𝒋𝒂𝒎𝒂𝒊𝒔 (𝒏𝒐𝒖𝒔 𝒆𝒙𝒑é𝒓𝒊𝒎𝒆𝒏𝒕𝒐𝒏𝒔 𝒍’é𝒄𝒐𝒍𝒆 à 𝒍𝒂 𝒎𝒂𝒊𝒔𝒐𝒏 𝒅𝒆𝒑𝒖𝒊𝒔 𝒔𝒆𝒑𝒕𝒆𝒎𝒃𝒓𝒆 2017), 𝒋𝒆 𝒔𝒖𝒊𝒔 𝒅𝒐𝒏𝒄 𝒊𝒎𝒑𝒓𝒆𝒔𝒔𝒊𝒐𝒏𝒏é𝒆 𝒅𝒆 𝒄𝒆 𝒓é𝒔𝒖𝒍𝒕𝒂𝒕.
𝑬𝒏 𝒖𝒏𝒆 𝒔𝒆𝒎𝒂𝒊𝒏𝒆, 𝒋’𝒂𝒊 é𝒍𝒊𝒎𝒊𝒏é 13 𝒍𝒊𝒗𝒓𝒆𝒔 𝒔𝒖𝒓 𝒍𝒂 𝒃𝒂𝒍𝒂𝒏𝒄𝒆, 𝒎𝒂 𝒈𝒍𝒚𝒄é𝒎𝒊𝒆 𝒔’𝒆𝒔𝒕 𝒕𝒆𝒏𝒖𝒆 𝒆𝒏 𝒃𝒂𝒔 𝒅𝒆 7 𝒕𝒐𝒖𝒕𝒆 𝒍𝒂 𝒔𝒆𝒎𝒂𝒊𝒏𝒆 , 𝒋𝒆 𝒎𝒆 𝒔𝒆𝒏𝒔 𝒎𝒊𝒆𝒖𝒙 𝒒𝒖𝒆 𝒋𝒂𝒎𝒂𝒊𝒔, 𝒚’𝒂 𝒖𝒏𝒆 𝒏𝒐𝒖𝒗𝒆𝒍𝒍𝒆 É𝑵𝑬𝑹𝑮𝑰𝑬 𝒅𝒂𝒏𝒔 𝒍𝒂 𝒎𝒂𝒊𝒔𝒐𝒏!
𝑶𝑲! 𝑩𝒆𝒏 𝒋𝒆 𝒗𝒂𝒊𝒔 𝒄𝒐𝒏𝒕𝒊𝒏𝒖𝒆𝒓 ç𝒂 𝒆𝒕 𝒋𝒆 𝒗𝒂𝒊𝒔 𝒆𝒏 𝒂𝒑𝒑𝒓𝒆𝒏𝒅𝒓𝒆 𝒑𝒍𝒖𝒔 𝒔𝒖𝒓 𝒄𝒆 𝒔𝒖𝒋𝒆𝒕, ç𝒂 𝒎’𝒊𝒏𝒕𝒓𝒊𝒈𝒖𝒆!
J’te raconte le reste, la semaine prochaine!